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Tu as peur que tout le monde découvre que tu n’es pas compétent.e ?

Tu doutes en permanence de tes capacités ?

Tu te penses illégitime dans ce que tu fais ou ce que tu veux faire ?

Tu penses qu’il faut que tu passes encore le nième certificat pour être sûr.e de pouvoir te lancer ?

Tu as du mal recevoir les compliments et les retours positifs.

Si tu te reconnais, c’est que tu souffres du syndrome de l’imposteur.

Sache que presque 70% de la population a déjà vécu ce mal-être au moins une fois dans sa vie.

Sache que beaucoup de femmes le vivent en permanence.

Tu as du mal recevoir les compliments et les retours positifs.

Deux stratégies de défense face à ça:

1. Tu en fais de trop

Tu déploies une énergie démesurée face à la tâche demandée. Cela te conforte dans l’idée que ton succès est lié à la quantité de travail et non à tes compétences ou à ton talent.

Tu manques de confiance en toi, tu as une mauvaise estime de toi.

2. Tu n’en fais pas assez

Tu te trouves donc tétanisé et tu n’oses pas passer à l’action, tu n’oses pas réaliser tes rêves, tu te mets dans une posture d’échec.

Tu as peur de réussir. 

Tu ne t’autorises pas à réussir.

Je te comprends. J’ai passé ma vie à combattre ce syndrome .

 Je suis la dernière d’une famille de 6 enfants.

Dans la culture asiatique traditionnelle, la dernière n’a pas son mot à dire.

Elle sait toujours moins que ses aînés et doit se taire.

J’ai les soeurs les plus gentilles du monde mais c’est ainsi, je suis et je resterai toujours la dernière 🙂

Alors j’ai passé ma vie à poursuivre l’excellence.

A essayer de convaincre que j’étais capable.

Il fallait que je sois première à l’école.

Que je puisse être la plus rapide à servir sur les marchés.

A rouler les nems plus vite que toutes.

Il fallait que je lise 10 fois plus de livres.

Que j’apprenne les choses 2 fois plus vite.

Une fois avec le job dont tout le monde rêve, cela n’a pas suffit.

Au fond de moi, à chaque réussite, je souffrais encore car malgré tous mes succès, je restais invisible aux yeux de ma famille.

Alors, j’ai tout fait pour partir en Asie.

J’ai réussi à me libérer et j’ai commencé à travailler avec plaisir.

Avec passion et sans stress.

Loin, je pouvais échouer ou réussir, cela m’était égal tant que j’aimais mon travail.

Et j’ai eu la chance que ma mère soit venue pour me dire combien elle était fière de moi.

Pour la première fois de ma vie.

Et c’est là que je me suis lancée.

Mais tu n’as pas besoin de faire la traversée du désert pour sortir de ce syndrome.

Tu n’as pas besoin de faire le tour du monde comme moi pour guérir.

Il existe des outils pour t’aider à avancer.

Il y a trois dimensions à changer pour dépasser le syndrome de l’imposteur:

  • Le blocage « technique »: tu n’as effectivement pas assez de connaissances techniques pour réaliser ce que tu veux accomplir. Il suffit de se former et oser investir en soi.
  • Le blocage mental qui trouve sa source dans des croyances limitantes liées à la réussite.
  • Le blocage émotionnel: plus profond, plus long et difficile à débloquer. Ce blocage est lié à des peurs profondes comme la peur de l’abandon, de la trahison. Il faut faire un travail sur soi sur la durée.

1. Pour le blocage émotionnel

Je t’invite à faire un travail d’introspection, te demander ce qu’on t’a fait croire depuis ton enfance et qui te bloque dans ton ascension, dans la vraie expression de qui tu es. Je te partage mes propres croyances limitantes sur moi-même qui pourraient peut-être t’aider:

  • Je suis trop timide pour réussir.
  • Je suis trop petite, j’ai une petite voix.
  • Je suis une femme et on ne peut pas réussir dans ce monde d’hommes.
  • Je ne suis pas une vraie française alors on ne te prendra jamais au sérieux.
  • Je suis moche et grosse.
  • Je suis trop introvertie.
  • Je suis trop gentille.
  • Je n’ai pas de charisme, pas de leadership.

2. Pour le blocage mental.

 Voici quelques pistes sur des croyances limitantes sur la réussite en général.  On a souvent un rapport malsain avec la réussite et l’argent. Peut-être qu’au fond de toi, il persiste encore l’idée que réussir n’est pas bien. Peut-être que de telles pensées tournent dans ta tête:

  • « Les gens qui réussissent sont égoïstes ».
  • “L’argent ne fait pas le bonheur”
  • “Pour réussir, il faut être un requin, écraser les autres”
  • “Les patrons exploitent les autres”
  • “Un chef d’entreprise n’a aucune empathie”
  • “Réussir, c’est délaisser les personnes qui comptent le plus pour toi”
  • « L’ambition, l’argent ne sont pas des valeurs généreuses ».
  • “La passion et l’argent sont contradictoires”

3. Pour le blocage technique.

 J’ai une bonne nouvelle, je suis là pour t’aider 😉

On va faire ça ensemble.

Mais ça ne sert à rien d’acquérir des connaissances et des compétences si ton mental et tes émotions ne suivent pas alors penses-y.

Que tu sois en création, en réflexion pour créer ton restaurant ou que tu aies déjà un restaurant, attention à tous ces blocages qui brident le meilleur de toi-même et qui t’empêche d’évoluer.

J’ai côtoyé beaucoup de chefs d’entreprise et sache que ce qui fait la différence, c’est vraiment le mental et non les compétences.

Le monde du sport l’a compris.

Le mental représente 80% du succès.

Les capacités, seulement 20%.

Moi, je peux t’aider sur les 20% mais c’est toi qui es responsable de ta propre réussite.